Cette opération, en partenariat avec la commune, résulte de la volonté de cette dernière de se doter d’un inventaire exhaustif du patrimoine compris dans le périmètre de l’AVAP. La commune, qui dispose d’un service Patrimoine, prend en charge l’étude de l’architecture civile, religieuse et domestique, le service de l’Inventaire réalise l’étude du mobilier religieux et du patrimoine industriel. L’opération a démarré en 2018.
Cette tranche d’étude de la grande thématique sur le patrimoine militaire régional concerne les ouvrages situés à l’ouest de Toulon (La Seyne-sur-Mer, Six-Fours, Sanary, Bandol, Le Revest-les-Eaux, Evenos) et devrait clôturer la thématique pour le département du Var. Programmée sur 3 ans, elle a commencé en 2017.
Cette étude, étape importante de la thématique régionale sur le patrimoine de la villégiature, a démarré en 2016. A Nice, l’opération est menée en partenariat avec la ville de Nice, dans le cadre de la candidature de la villégiature niçoise au patrimoine mondial de l’UNESCO. Le service de l’Inventaire encadre et conseille l’équipe mise en place par la ville de Nice pour conduire cet inventaire thématique. Voir également les photos de la villégiature à Nice, dans la base phothotèque.
Depuis 2012, le Département de Vaucluse a mis en place le programme Patrimoine de Vaucluse qui concerne la connaissance, la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine religieux des communes de moins de 3 500 habitants faisant partie d’un territoire organisé, le Parc Naturel du Luberon ou le Pays Une Autre Provence. Les études sont menées depuis 2015 en partenariat avec le service de l’Inventaire général qui encadre les opérations, réalise les campagnes de prise de vue photographique et les relevés d’architecture.
Opération conduite dans le cadre d’un partenariat pluriannuel conclus avec le Pays d’art et d’histoire de la Provence verte. Accompagné et encadré par le service de l’Inventaire, le Pays réalise un inventaire exhaustif de son territoire en procédant par approche thématique. Après l’inventaire du patrimoine de la République entre 2012 et 2016, le Pays s’est engagé dans celui des chapelles.
Opération en partenariat avec le parc. L’enquête d’inventaire est un moyen pour le parc de renforcer ses connaissances sur le patrimoine pour en assurer la valorisation et la médiation. La documentation produite est destinée en priorité aux élus, aux acteurs du tourisme et du patrimoine pour la gestion de leurs biens culturels. Les données issues de cet inventaire sont une ressource pour développer les connaissances du parc sur les éléments de son patrimoine, pour élaborer les fiches conseil sur la conservation des patrimoines et les dossiers pédagogiques destinés au public scolaire.
Ce parc régional est à cheval sur les Hautes-Alpes et la Drôme (Région Auvergne-Rhône-Alpes). En 2015, une convention de partenariat a été élaborée dans l’objectif de mettre en place un inventaire topographique du territoire du parc, encadré et dirigé scientifiquement par les deux services régionaux d’Inventaire. Aux termes de la convention, la maîtrise d’ouvrage est assurée par le Parc pour l’inventaire du patrimoine civil, industriel et domestique. Le service de l’Inventaire assure de son côté l’étude du patrimoine religieux, architectural et mobilier.
Cette nouvelle étude a débuté au 3e trimestre 2018. Elle s’inscrit dans la démarche régionale de valorisation de la mémoire matérielle et immatérielle de la communauté harkie. La valorisation doit prendre la forme d’un inventaire et d’une étude documentaire des sites de hameaux de forestage créés sur 32 communes de la région. La région Provence-Alpes-Côte d’Azur est celle où les hameaux ont été les plus nombreux (32 sur les 69 créés en France). L’objectif principal est de dresser un état des lieux des hameaux avec un constat de leur état de conservation. L’étude devra déterminer l’existence de modèles et de caractéristiques récurrentes. Les sites les mieux préservés feront l’objet de dossiers d’étude. L’ensemble des hameaux sera documenté par un dépouillement exhaustif des archives locales et si possible par un large recours aux archives privées des anciens habitants.