Inventaire en partenariat avec la communauté d’agglomérations Dracénie Provence Verdon qui réalise une partie de l’étude de l’architecture rurale, l’autre partie, ainsi que l’étude du patrimoine religieux étant prise en charge par le service de l’Inventaire. L’opération s’inscrit dans la candidature de la Dracénie au label Pays d’art et d’histoire.
Ce parc régional est à cheval sur les Hautes-Alpes et la Drôme (Région Auvergne-Rhône-Alpes). En 2015, une convention de partenariat a été élaborée dans l’objectif de mettre en place un inventaire topographique du territoire du parc, encadré et dirigé scientifiquement par les deux services régionaux d’Inventaire. Aux termes de la convention, la maîtrise d’ouvrage est assurée par le Parc pour l’inventaire du patrimoine civil, industriel et domestique. Le service de l’Inventaire assure de son côté l’étude du patrimoine religieux, architectural et mobilier.
Les communes de Val de Buëch-Méouges et Rosans sont achevées, celle d’Orpierre est en cours.
Cette opération, en partenariat avec la commune, résulte de la volonté de cette dernière de se doter d’un inventaire exhaustif du patrimoine compris dans le périmètre de l’AVAP. La commune, qui dispose d’un service Patrimoine, prend en charge l’étude de l’architecture civile, religieuse et domestique, le service de l’Inventaire réalise l’étude du mobilier religieux et du patrimoine industriel. L’opération a démarré en 2018.
Cette étude en partenariat avec le SIVOM a démarré début 2021. L’étude s’attache tout particulièrement à l’architecture vernaculaire, notamment au bâti rural et aux infrastructures agricoles. Si l’architecture religieuse est comprise dans son périmètre, l’étude ne sera pas dans un premier temps étendue au mobilier religieux. Les enquêtes de terrains sont achevées pour les communes de La Gaude, Saint-Paul-de-Vence et Coursegoules. L’opération s’inscrit dans la candidature du SIVOM au label Pays d’art et d’histoire.
Cette étude, étape importante de la thématique régionale sur le patrimoine de la villégiature, a démarré en 2016. A Nice, l’opération est menée en partenariat avec la ville de Nice, dans le cadre de l’inscription de la villégiature niçoise au patrimoine mondial de l’UNESCO. Le service de l’Inventaire encadre et conseille l’équipe mise en place par la ville de Nice pour conduire cet inventaire thématique. Voir également les photos de la villégiature à Nice, dans la base phothotèque.
Cette étude permettra au service d’aborder la problématique de la villégiature de la seconde moitié du 20e siècle et de ses particularités architecturales. Le dépouillement des permis de construire a cependant fait ressortir de nombreux projets de l’Entre-deux-guerres qui permettront des comparaisons avec la villégiature du Cap d’Antibes, datant elle aussi majoritairement de cette période.
L’inventaire fait suite à celui des usines à parfum, déjà réalisé en partenariat avec la commune. La villégiature grassoise, moins dense et plus méconnue que celle des stations balnéaires de la Côte d’Azur, pose, en commun avec celle de Nice, la question de l’impact de la villégiature dans le développement d’une architecture urbaine et péri urbaine.
L’étude thématique de l’architecture fortifiée a été ouverte dans les années 1980 dans le Briançonnais. Peu à peu la totalité du territoire régional est couverte. Après l’achèvement de la frontière terrestre, l’étude des fortifications du littoral aborde la dernière zone à couvrir, celle des Bouches-du-Rhône dont l’étude démarre en 2023 avec la place forte de Marseille.
La commune d’Apt désirant s’engager dans une opération de récolement global du mobilier de l’ancienne cathédrale Sainte-Anne a sollicité l’appui scientifique du service de l’Inventaire pour inscrire sa démarche dans une méthodologie cadrée. L’étude est confiée à un prestataire, le service de l’Inventaire encadre l’opération et peut réaliser certaines campagnes de prises de vue.
Cette opération fait l’objet d’une convention de partenariat, renouvelée depuis 2014 avec le Département du Vaucluse qui conduit l’inventaire, avec le soutien financier et logistique du service de l’Inventaire qui prend en charge la couverture photographique des œuvres. Ce partenariat a permis d’étudier le patrimoine religieux de 12 communes dans le département : Bonnieux, Brantes, Crestet, Entrechaux, Gargas, Lagnes Robion, Roussillon, Saint-Léger, Saint-Saturnin-les-Apt, Savoillans, Viens.
Embrun (siège), Baratier, Châteauroux-les-Alpes, Chorges, Crévoux, Crots, Les Orres, Pontis, Prunières, Puy-Saint-Eusèbe, Puy-Sanières, Réallon, Saint-André-d'Embrun, Saint-Apollinaire, Saint-Sauveur, Le Sauze-du-Lac, Savines-le-Lac
L’inventaire accompagne ce territoire dans sa candidature au label Pays d’art et d’histoire. Un inventaire du patrimoine religieux de l’Embrunais a démarré en 2023 dans le cadre d’une convention de partenariat. La communauté de communes conduit les opérations avec l’aide et l’appui scientifique du service de l’Inventaire qui contrôle et valide les études. La première d’entres elles est consacrée à la cathédrale d’Embrun.
Opération conduite dans le cadre d’un partenariat pluriannuel conclus avec le Pays d’art et d’histoire de la Provence verte. Accompagné et encadré par le service de l’Inventaire, le Pays réalise un inventaire exhaustif de son territoire en procédant par approche thématique. Après l’inventaire du patrimoine de la République entre 2012 et 2016, le Pays s’est engagé dans celui des églises, chapelles, oratoires, chemin de croix.