Ponts et aménagements du Rhône voir ici

Les Régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Rhône-Alpes ont entrepris un inventaire conjoint des points de franchissements établis sur le Rhône. L’implantation sur le fleuve de dispositifs précaires - bacs, bacs à traille, ponts de bateaux - se perpétue jusqu’à une période tardive. Ils cèdent progressivement devant la maîtrise technique des ponts suspendus et bientôt des viaducs ferroviaires et autoroutiers qui assurent le franchissement pérenne du fleuve, condition au développement des villes et des voies commerciales. L’enquête de terrain entreprise à partir de 2011 sur les départements de Vaucluse et des Bouches-du-Rhône recense les ouvrages toujours en activité mais aussi les ouvrages déclassés ou détruits étudiés à partir de documentation historique. Les recherches font ressortir les noms des ingénieurs et des entrepreneurs qui ont contribué à la diffusion des innovations techniques. Ces données collectées invitent à une approche globale des aménagements du fleuve.

 

Inventaire topographique du pays d’Aigues : cantons de Cadenet et Pertuis

Toute première enquête de l’Inventaire dans la région, cette vaste étude réalisée entre 1968 et 1996 a permis de redécouvrir des œuvres majeures de l’histoire de l’art provençal : le château de la Tour d’Aigues, l’église Saint-Nicolas ou la maison dite de la Reine Jeanne à Pertuis, le château de Villelaure, le mobilier de l’église de Cucuron …

 

Inventaire topographique de l’Enclave des Papes (canton de Valréas)

• Ancienne terre pontificale enclavée dans le département de la Drôme, le canton de Valréas a gardé de nombreuses traces de son ancienne prospérité : hôtels particuliers de la Renaissance ou du 17e siècle, églises et chapelles médiévales, vastes décors religieux baroques. En relation avec la sériciculture, dont l'implantation remonte au 16e siècle, Valréas a développé à partir de 1850 une industrie du cartonnage, dont la naissance vers 1850 est due à la nécessité de transporter les cocons en toute sécurité.

 

Inventaire topographique de la commune de Cavaillon

Cette étude a mis en évidence des particularismes architecturaux bien spécifiques à Cavaillon : les fermes de maraîchage et les entrepôts commerciaux, appelés localement maisons d’expédition, qui assuraient l’exportation des produits agricoles vers la France entière. La tradition locale assure que plusieurs centaines de maisons d'expédition auraient autrefois coexisté mais l’enquête n’a permis d’en étudier qu’une trentaine, concentrée à la périphérie immédiate de la vieille ville. Les fermes de maraîchage, réparties à partir de la fin du 18e siècle dans la ceinture cavaillonnaise, présentent une grande homogénéité dans leur architecture, caractérisée par la modestie des volumes et des mises en œuvre, la multiplicité des bâtiments annexes accolés aux logis, la présence systématique de puits.

 

LES COOPÉRATIVES AGRICOLES VOIR ICI

 

Quelques exemples :
Coopérative vinicole dite Cave La Gaillarde Valréa
coopérative agricole (coopérative céréalière) Orange - Bruyères 
Coopérative agricole (coopérative fruitière) Lourmarin - le Clos
Coopérative agricole (coopérative céréalière) Cucuron - la Couaste
Coopérative vinicole Bonnieux
Coopérative vinicole Cadenet