Départ, square Beaverbroook (parking).

Traverser l'avenue du 3 Septembre et descendre l'avenue Charles Blanc.

Villa Mirasol

Vue d'ensemble de la façade sud, depuis le sud.

Au n° 5, la Villa Mirasol (1), construite vers 1908 pour l'écrivain Gabrielle Reval. La loggia à colonnes qui ouvre sur une triple baie en plein-cintre, l'échelonnement des terrasses bordées de balustrades avec groupes sculptés disposés aux angles rappellent la conception des villas italiennes.

 

Descendre l'avenue jusqu'au premier virage puis continuer sur une cinquantaine de mètres.

Villa Lumière


Vue d'ensemble des façades ouest et sud, depuis le sud-ouest.

Au n° 8, la Villa Lumière (2), construite vers 1902 pour Auguste Lumière faisait partie d'un ensemble de trois appartenant à la même famille dont subsiste encore la villa Hélios (2, avenue François de May). L'escalier en fer à cheval, les deux oriels sur cul-de-lampe adossés aux angles et la richesse du décor sculpté confèrent à la façade toute sa monumentalité. L'édifice a été modifié au cours des années 1950 par l'ajout d'un étage.

Continuer à descendre une quarantaine de mètres puis tourner à droite dans l'avenue François de May.

L'Eden Résidence

Vue perspective des façades sud de l'édifice, depuis l'est.

    Au n° 2, l'Eden Résidence, ex Hôtel Eden (3), construit par le baron de Pauville vers 1892 au milieu d'un parc de quatre hectares, est à l'origine de la station. Le corps de bâtiment situé face au portail est le plus ancien. Sa façade ordonnancée scandée par trois avant-corps est rythmée de pilastres et de frontons. De part et d'autre du porche d'entrée, deux vérandas (disparues) abritaient la salle de restaurant.
    L'hôtel offre dès sa création une capacité de 150 chambres équipées du confort moderne : lumière électrique, ascenseur et salles de bain privées. Une annexe de 50 chambres avec balcons, bâtie au début du XXe siècle, prolonge l'édifice. Un porche est ajouté dans les années 1930 sur la façade est. En1945, l'hôtel est divisé en appartements.

 

L'Eden Résidence

Vue perspective des façades sud de l'édifice, depuis l'est.

    Au n° 2, l'Eden Résidence, ex Hôtel Eden (3), construit par le baron de Pauville vers 1892 au milieu d'un parc de quatre hectares, est à l'origine de la station. Le corps de bâtiment situé face au portail est le plus ancien. Sa façade ordonnancée scandée par trois avant-corps est rythmée de pilastres et de frontons. De part et d'autre du porche d'entrée, deux vérandas (disparues) abritaient la salle de restaurant.Vue intérieure. L'escalier ainsi que les peintures murales au niveau des deux derniers paliers, vus depuis le nord.
    Le grand escalier, dans l'axe du vestibule, conserve de beaux décors peints réalisés à la détrempe, dans un style néo-pompéïen. L'hôtel offre dès sa création une capacité de 150 chambres équipées du confort moderne : lumière électrique, ascenseur et salles de bain privées. Une annexe de 50 chambres avec balcons, bâtie au début du XXe siècle, prolonge l'édifice. Un porche est ajouté dans les années 1930 sur la façade est. En1945, l'hôtel est divisé en appartements.

     

 

Descendre le boulevard François de May sur environ 300 mètres, passer un premier virage à gauche puis un second à droite et continuer sur environ 50 mètres.

Villa Papillon


Au n° 6, la Villa Papillon (4), réalisée au début du XXème siècle, se caractérise par son plan carré, sa façade symétrique et sa balustrade de couronnement. Située à flanc de colline, elle bénéficie d'une vue et d'une exposition remarquables que l'architecte a su exploiter par l'emploi de portes-fenêtres et de balcons donnant sur la mer.

Descendre l'avenue. Après le troisième virage,

Villa Les Violettes


Vue d'ensemble des façades sud et est, depuis l'est.

Au n° 15, la Villa Les Violettes (5), est construite en 1905. L'étagement des volumes permet de multiplier et varier les espaces de repos et de plaisirs: terrasse abritée, terrasse ombragée, tour belvédère. La polychromie des éléments de décor en céramique vernissée à dominante turquoise rehaussée par l'emploi d'un enduit clair, confère à cette villa un aspect pittoresque que renforce la présence du palmier.

Poursuivre sur le boulevard Raymond Gramaglia sur une centaine de mètres environ.

Villa Les Mouettes

Vue d'ensemble de la façade sud, depuis le sud.

Au n° 6, la Villa Les Mouettes (6), construite vers 1905, présente sur sa façade nord un élégant cartouche orné de feuilles d'eau et de branches d'olivier dans lequel est inscrit son nom.

Villa Les Funambules


Détail : la partie supérieure de la moitié ouest de la façade nord, depuis l'ouest.

Au n° 8, la Villa Les Funambules (7), a été achetée en 1911, peu aprés son achèvement, par l'acteur et auteur dramatique français Sacha Guitry. Elle tire parti de la vue et du climat par l'ampleur des baies, l'étendue des terrasses et la présence des deux belvédères qui ouvrent sur la dalle de couverture aménagée en terrasse d'agrément. Le décor de nature éclectique, mêle des éléments gothiques (larmiers retournés) et classiques.

Poursuivre une centaine de mètres (joli point de vue sur le bord de mer) puis monter le boulevard Raymond Gramaglia sur environ 300 mètres.

    Villa Paloma


    Vue d'ensemble de la tour, depuis le nord-est.

    Au n° 16, aller vers l'ancre, la Villa Paloma (8), construite vers 1903 sur l'emplacement de l'ancienne usine électrique de l'hôtel Eden, se signale par sa tour d'angle couverte par un toit en pavillon. Elle se singularise par la richesse du décor sculpté disposé en frise entre les aisseliers des avant-toits et sur les angles: cuirs retournés, volutes et rubans, guirlandes et chutes de fleurs. Remarquer les vitraux des baies du premier étage.

    Poursuivre sur 100 mètres environ, jusqu'à l'amorce du premier virage à gauche.

La Villa Castel del Mare


Vue d'ensemble de la façade nord, depuis le nord.

Au n° 23, la Villa Castel del Mare (9), construite vers 1911, constitue l'un des exemples les plus représentatifs du style éclectique qui hiérarchise chaque corps de bâtiment par un traitement original en rapport avec sa fonction: le garage est traité à la façon d'un chalet avec un décor en pans de bois alors que la villa, édifice noble à fonction de réception, conserve un caractère monumental emprunté au clacissisme (plan symétrique, façade ordonnancée, entrée marquée par un porche, balustrade en couronnement) qui valorise la position sociale du commanditaire. Remarquer l'organisation du jardin qui intègre dans un environnement paysager constitué d'essences régionales et exotiques un escalier traité de façon rustique en faux branchages, oeuvre des rocailleurs.

Continuer à monter le boulevard jusqu'au croisement de l'avenue de la Gare.

La Villa Marizzina

Vue d'ensemble des façades nord et est, depuis le nord-est.

Au n° 13, la Villa Marizzina (10), est construite dans les premières années du XXe siècle. La multiplication des bow-windows et la présence du belvédère, éléments qui permettent d'observer le paysage à l'abri des intempéries, témoignent de l'usage hivernal de la maison. Remarquer le porche traité à la façon d'une marquise et destiné à abriter les hôtes.

Monter l'avenue de la Gare, passer le croisement avec l'avenue Pierre Weck et poursuivre sur environ 30 mètres.

Villa les Roses

Vue d'ensemble de la façade ouest, depuis le nord-ouest.

Au n° 7, la Villa les Roses (11), construite vers 1910, présente un décor entièrement basé sur une iconographie végétale en rapport avec son patronyme. Les piliers du portail traités en faux troncs d'arbres manifestent le goût pour le pittoresque et illustrent le travail des rocailleurs qui se développe au début du siècle.

Continuer à monter l'avenue de la Gare en direction de l'avenue du 3 Septembre.

L'Hôtel Radium


Vue partielle de la façade ouest, depuis l'ouest.

Au n° 116, l'Hôtel Radium (12), construit vers 1901 pour Auguste Thomas, directeur de l'hôtel Eden, est original par son plan désaxé, ses oriels et ses balcons orientés vers le jardin. Le niveau inférieur était occupé par le hall de réception (actuelle épicerie), un bar avec terrasse et une salle de restaurant située dans l'aile sud en rez-de-chaussée. L'accès aux chambres et appartements s'effectuait par deux escaliers avec entrées indépendantes. En 1923, l'hôtel est divisé en appartements.

 

     
Regagner le square Beaverbrook par l'avenue du 3 Septembre.