| Notice MERIMEE IA13006017 | |
| Date de l'enquête : | 2018 |
| Copyright : | (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général |
| Date de rédaction de la notice : | 2018 |
| Noms des rédacteurs du dossier : | Ursch Jacqueline ; Mazzella di Bosco Florence |
| Cadre de l'étude : | patrimoine industriel |
| Dénomination : | ensemble d'industrie extractive ; carrière ; usine de fabrication de matériaux de construction ; cimenterie |
| Appellation et titre : | cimenterie ROMAIN BOYER, puiscimenterie BOYER, actuellementcimenterie LAFARGE |
| Titre courant : | Ensemble d'industrie extractive, cimenterie ROMAIN BOYER, puis cimenterie LAFARGE, quartier Les Sardons - Maisons Roses |
| Région : | Provence-Alpes-Côte d'Azur |
| Commune : | Roquefort-la-Bédoule |
| Aire d'étude : | Bouches-du-Rhône |
| Lieu-dit ou secteur urbain : | Les Sardons ; Maisons Roses |
| Adresse : | de Cassis (Route) |
| Référence cadastrale : | 2018 AA 106 ; 2018 AA 107 ; 2018 AA 31 ; 2018 AA 78 ; 2018 AA 23 ; 2018 AA 24 |
| Zone Lambert ou autre : | Lambert93 |
| Datation des campagnes principales de construction : | 4e quart 19e siècle |
| Datation en années : | 1885 |
| Justification de la datation : | daté par travaux historiques |
| Etat de conservation : | établissement industriel désaffecté ; reconverti |
| Observations : | Il s'agit de la plus vaste des cimenteries de la commune construite par messieurs Romain et Boyer (Roquefort-la-Bédoule, grand centre de production de chaux et ciments au XIX e siècle – Provence Historique 1993). Elle est classée établissement dangereux en 1920 (source AD13 - 5M63). Lafarge a racheté cette cimenterie de 1936 à 1950 mais n'y a jamais fait de ciment. La production s'est arrêtée en 1936 (source orale : M. Vasserot, ancien menuisier du site et propriétaire de la parcelle cadastrale n°93). Cette cimenterie est une oeuvre d'ingénieur du 19ème s, élève de Rondelet et de Durand (Roquefort-la-Bédoule, grand centre de production de chaux et ciments au XIX e siècle – Provence Historique 1993). Aujourd'hui, le site industriel a été reconverti pour une grande partie et des parcelles cadastrales ont été rachetées par des particuliers qui se trouvent alors habiter dans des anciens bâtiments de la cimenterie et/ou ont des ruines de fours à chaux sur leur propriété, ce qui est le cas au 240 Chemin du Baou et au 1574 Route de Cassis. Sur cette propriété subsiste également des anciens bureaux de la cimenterie et le bâtiment où été confectionnés les sacs en toile de jute pour transporter le ciment. Aujourd'hui c'est une habitation (source orale habitant). |
| Lien URL : | |