| Notice MERIMEE IA13006011 | |
| Date de l'enquête : | 2018 |
| Copyright : | (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général |
| Date de rédaction de la notice : | 2018 |
| Noms des rédacteurs du dossier : | Ursch Jacqueline ; Mazzella di Bosco Florence |
| Cadre de l'étude : | patrimoine industriel |
| Dénomination : | usine d'extraction ; carrière ; usine de fabrication de matériaux de construction ; cimenterie |
| Appellation et titre : | cimenterie ALBERT ARMAND & CIE, puiscimenterie PAVIN DE LAFARGE , actuellementcimenterie LES ARMANDS |
| Titre courant : | Usine d'extraction, cimenterie ALBERT ARMAND & CIE, puis cimenterie PAVIN DE LAFARGE |
| Région : | Provence-Alpes-Côte d'Azur |
| Commune : | Roquefort-la-Bédoule |
| Aire d'étude : | Bouches-du-Rhône |
| Lieu-dit ou secteur urbain : | Les Caneuves |
| Adresse : | Cassis (Route) 461 |
| Référence cadastrale : | 2018 AW 272 ; 2018 AW 267 ; 2018 AW 268 ; 2018 AW 255 ; 2018 AW 275 ; 2018 AW 269 ; 2018 AW 3 ; 2018 |
| Zone Lambert ou autre : | Lambert93 |
| Coordonnées d'un point : | 0909626;6242108 |
| Coordonnées multiples : | 0909553;6242160/0909529;6242087/0909650;6242050/0909689;6242062/0909717;6242129/0909554;6242157/0909554;6242158/0909553;6242160 |
| Datation des campagnes principales de construction : | 4e quart 19e siècle |
| Datation en années : | 1875 |
| Justification de la datation : | daté par travaux historiques |
| Etat de conservation : | vestiges ; reconverti |
| Observations : | Il s'agit de la deuxième cimenterie de la Bédoule, elle produisait seulement du ciment. Elle est rachetée en 1905 par la société Pavin de Lafarge. Du temps d'Albert Armand était produit le ciment Romain, estampillé bleu. Il était réputé pour avoir une prise très rapide, entre 2 et 5 minutes selon la température (Valageas_Histoire de l'industrie des ciments naturels dans la region de Marseille). Aujourd'hui, il ne reste plus que le mur principal de la cimenterie, qui a été intégré à la résidence "Clos des Roches Bleues". Des murs en ruines, à gauche de l'entrée de la résidence faisaient partie de l'ensemble de la cimenterie. Il reste toujours des anciens logements ouvriers ainsi que la maison du directeur, dont le dernier était M. Serres (source orale – mairie). |
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