(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général ; (c) Ville de Nice
Date de rédaction de la notice :
2017
Noms des rédacteurs du dossier :
Aliotti Jean-Marc
Cadre de l'étude :
recensement du patrimoine balnéaire (patrimoine de la villégiature de Nice)
Type de dossier :
dossier individuel
Dénomination :
hôtel de voyageurs
Appellation et titre :
Hôtel Aston La Scala, actuellementGrand hôtel de la paix
Titre courant :
Hôtel de voyageurs dit Hôtel Aston La Scala, anciennement Grand hôtel de la paix
Région :
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Commune :
Nice
Aire d'étude :
Nice
Canton :
Nice
Lieu-dit ou secteur urbain :
Médecin
Adresse :
Félix-Faure (avenue) 12
Référence cadastrale :
2017 LC 231
Zone Lambert ou autre :
Lambert93
Coordonnées d'un point :
1044296;6298097
Datation des campagnes principales de construction :
3e quart 19e siècle
Datation en années :
1868
Justification de la datation :
daté par source
Auteur de l'oeuvre :
Echernier Casimir (architecte) ; Levrot Vincent (architecte)
Justification de l'attribution :
attribution par source ; attribution par source
Matériau de la couverture :
béton en couverture
Commentaire descriptif :
Toiture terrasse non accessible.
Technique du décor des immeubles par nature :
maçonnerie ; sculpture
Précision sur la représentation :
Décor très limité aux encadrements moulurés des baies, aux linteaux comprenant une frise géométrique entre deux petits modillons portant une petite corniche moulurée. Une agrafe symbolisée par une couronne enroulée autour d'une clef saillante décore le sommet des baies du troisième étage carré. La corniche est habillée d'une part de deux linéaires de modillons rainurés dont les intervalles sont remplis de tables saillantes d'autre part de deux autres linéaires simplement ponctués de fleurs.
Intérêt de l'oeuvre :
à étudier
Eléments remarquables :
console ; élévation
Observations :
Avant 1914. Immeuble longiligne, massif, d'un gabarit imposant posé sur un rez-de-chaussée à vocation commerciale hétérogène, mais dont les étages très ordonnancés montrent une certaine rigueur de construction. Si les proportions des baies sont verticales, la présence des bandeaux intermédiaires, que des corniches isolées ou des appuis complètent, ne font que renforcer, avec la balustrade et la corniche sommitale, la ligne directrice horizontale. La surélévation moderne rassemblant une façade vitrée rajoute un niveau en retrait supplémentaire. La façade est traitée en maçonnerie enduite selon deux tonalités constrastées. À noter que l'angle à pan coupé est renforcé par des chaînes d'angle.