Pour cette deuxième commande, l’architecte Adolphe Coquet adopte une nouvelle écriture pittoresque et colorée.
La création d’un avant-corps central en léger décrochement couronné d’un fronton triangulaire en bois découpés et le traitement rythmique des travées jumelées, caractérisent la nouvelle élévation désormais ordonnancée.
Le revêtement des façades marque lui aussi une rupture avec le simple enduit à la tyrolienne monochrome utilisé jusqu’alors.
L’architecte lyonnais introduit un jeu polychrome inédit associant briques peintes en trompe-l’œil, panneaux de céramique en frise, enduit et pierre factice moulurée.
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